Voiture volante : Un futur pas si lointain que ça !!

D’après certains scientifiques et visionnaires, la voiture volante devrait arriver aux alentours des 2020/2025. Cela veut dire que même s’il y a du retard chers lecteurs, vous devriez assister à ce rêve. À nous l’espace aérien comme dans le film « le cinquième élément » ou encore « Blade runner » pour les plus ancien.

voiture volante Airbus

Selon 3 experts, à savoir, François Chopard, fondateur de l’accélérateur de start-up Starburst Aerospace, Alexander Zosel, co-fondateur de Volocopter, et Mathias Thomsen, responsable de la mobilité urbaine à Airbus, qui se sont réunis lors du Web summit en 2017 à Lisbonne, nous arrivons bientôt dans un monde où la voiture volante devrait sortir.

« Dans nos villes au trafic encombré, nous pensons que cette arrivée est irrésistible. La demande est là. Tout se joue maintenant sur l’offre », assure Mathias Thomsen, dont la société travaille sur deux projets d’engin volant.

« Avec des voitures volantes, on ne tue plus la nature, on n’a plus besoin de construire ni routes ni tunnels, plus besoin de pneus, et c’est moins bruyant : le public va voir ces avantages », ajoute Alexander Zosel.

Uber prévoit des taxis volants dès 2020. Cette date sera sans nulle doute le départ de la course au monopole ou en tout cas à la suprématie. Plusieurs grand groupe sont déjà sur le coup car ils ont racheté une ou plusieurs entités spécialisées dans ce domaine.

les sociétés suivantes s’intéressent à ce futur qu’est la voiture volante :

Zee.Aero (dont le fondateur de Google Larry Page est actionnaire), Terrafugia, Uber, Hoversurf, Aeromobil, PAL-V, Toyota, DeLorean Aerospace, Ehang, Airbus, Volocopter… pour les principales.

Il y a des dizaines de projets mais selon François Chopard, ce qui émerge aujourd’hui, c’est un modèle qui est un mix entre celui de Volocopter (engin doté de 18 rotors électriques) et un modèle avec des ailes.

Drone blanc
voiture volante

Selon lui, le Volocopter présente deux inconvénients. Son nombre important d’hélices, trop volumineuses et l’absence d’ailes. Ce qui réduit l’autonomie de l’appareil. «En cas de pépin, on doit pouvoir attendre un petit peu dans les airs, souligne l’investisseur. De plus, les ailes permettent d’aller plus vite et d’économiser le carburant ».

L’expert estime également que la voiture volante du futur pourra décoller verticalement, une caractéristique qui la rend plus adaptée aux villes.

Quels sont les autres projets existants ?

le projet Lilium. Un jet à décollage vertical, celui de l’américaine Joby Aviation, avion électrique capable de pointes à 320 km/h et celui d’Aurora Flight Sciences, acquise par Boeing et qui a déjà noué un partenariat avec Uber. Une autre machine de Volocopter est capable d’emporter deux passagers au moyen de 18 rotors électriques. Son autonomie est de 20 minutes. Airbus travaille de son côté sur deux projets : le drone monoplace Vahana et l’engin « deux en un » Pop Up, transformable en voiture ou en véhicule aérien.

Ce qui est sûr c’est que dans un premier temps, ce n’est pas nous pauvre peuple qui aurons ce genre de véhicules dans notre garage. Premièrement par ce que les projets coûtent chers (donc les prototypes également). Deuxièmement, il y a la gestion de l’espace de circulation qui sera tout nouveau et des personnes non responsable pourraient faire n’importe quoi. Ce sera donc les transports en commun ou privé qui seront les prioritaires, avec des personnes qualifiées pour les conduites ou pour en faire la maintenance. Et oui, vous avez bien lu. Il se pourrait qu’il n’y ai pas de conducteurs humain. Plutôt un système de navigation embarqué ultra avancé avec toutes les options possibles en terme de gps et de sécurité.

Il ne reste qu’à travailler «la fiabilité et la sécurité », selon François Chopard, maintenant que le drone a ouvert la voie en démocratisant «l’autonomie, l’autopilot, la combinaison avec le GPS, que les machines fonctionnent à l’électrique et sont donc bien moins chères ».

Mais quels seraient les lieux choisis pour commencé ?

La logique voudrait que des villes ou la pollution est importante et la concentration de véhicules est élevée soit éligible à ce genre de test, tel que Dubai par exemple. Mais peut être que ce sera la ville qui a le plus d’argent à mettre sur la table tout simplement.

Nous avons plus qu’à prendre notre mal en patience jusqu’à 2020/2025 pour enfin voir nos futurs transports de voitures volantes.

J’espère que cette page vous a plus.

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Bruno de Myziggi.

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